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Mon Multivers
26 juillet 2010

Inception : Petite critique et analyse rapide

 

PosterInception

Tout le monde est déjà au courant, avec «Inception » Nolan vient de frapper un gros coup, tout comme Scorcese avec son « Shutter Island » dans un registre par si éloigné que cela au final.

Et c’est en cela que je tiens a commencé par les ressemblances entre ces deux films, car il faut bien le reconnaitre, ils en ont bien des choses en commun, un peu comme «Matrix » avait beaucoup de ressemblance avec « Dark City » (voir même beaucoup trop être honnête pour que celles-ci soient fortuites …)

Les deux métrages ont en commun un postulat de base très simpliste et mainte fois utiliser au ciné, l’enquête policière pour « Shutter Island » et le film de braquage pour « Inception » auquel se greffe une idée novatrice, et bien sur Leonardo Di Caprio qui continue un parcours et une filmographie absolument exceptionnel (quel acteur de sa génération peut se vanter d’avoir jouer pour tant de grand réalisateur ? si il ne décroche pas un Oscar cette année c’est a ni rien comprendre …)

L’autre point commun est un élément : l’eau, teinté de beaucoup de symbolisme, a la fois la pour laver des péchés, montrer un état d’esprit.

Dans le film Nolan, cet élément est surtout présent et plus particulièrement dans la scène de la chute du van sur le pont, pour figuré la plongée en apnée dans les rêves, le franchissement des quatre emboitements/paliers mais en même temps il est censé représenter le réveil des protagonistes a son contact.

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Pour la critique en elle-même de « Inception », le film rate de très peu son statut de chef d’œuvre de la Science-fiction au même titre qu’un « Blade Runner »,un petit détail des ces points faible s’impose :

-          - Même avec son sujet qui oblige le spectateur a avoir une attention de tout les moment/qui ne le prend pas pour un abruti/d’une densité assez poussée, le film reste un blockbuster, ce qui implique que quelques pans scénaristique resteront survolé : les limbes, le traitement des personnages sans background approfondis (Cobb est le meilleur, mais pourquoi ? depuis combien de temps ? qui sont vraiment ses employeurs, d’où vient la technologie qui lui permet d’entrée dans les pensées d’autrui ? …) 

-          - La durée du film de 144 minutes jouent aussi en sa défaveur, il y a certaines baisses de régimes, et comme dans tout ses films avec de l’action, l’on s’aperçois assez vite qu’il n’ai pas très a l’aise avec celles-ci, elle restent assez brouillonnes dans le montage et dans ses cadrages, le réalisateur est beaucoup plus un contemplateur, compteur d’histoire a l’instant de ses pairs Jackson et Del Toro et a l’inverse de Michal eBay (désolé il fallait que je lui mette un petit pique au passage, impossible de m’en empêcher …) 

-        -   La bande-originale bien trop présente et « lourde » par moment.

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Mais donc au delà de ces menus défauts, Nolan réussi un mélange des genres absolument stupéfiant, Matrix qui rentre James Bond dans une opération qui n’est pas sans rappeler Ocean’s Eleven (mais a la place voler, on est la pour placer quelque chose), le point qui restera le prédominant tout le long, sera celui du l’espionnage, car oui « Inception » même en étant un film de Science Fiction il restera un film tres proche d’un Mission Impossible (la série bien sur), rien que pour son déroulement : l’équipe a recruter pour ce cas précis/les personnages qui prennent l’apparence d’autres.

Les phases d’actions restent assez impressionnantes, Paris qui se replie sur lui-même, sa rue qui explose, le train qui arrive en ville, les gunfiths et bagarre (effectué avec une classe hors du commun par ***)  dans un hôtel qui n’est plus soumis aux lois de la gravités, la prise de possession du bunker en montagne qui restera le passage le plus James Bondien et le plus beau visuellement (car il n’y a pas a dire, Nolan sait magnifier les prises de vues en extérieurs).

Quand au casting, il est de très haut vol, et même si Di Caprio a le rôle principal, ce n’est pas le plus primordial, chacun a son importance et de longues présence a l’écran :

-       - Joseph Gordon-Levitt/Artur  (re classe !) sans qui la mise et place et le timing serait impossible dans « l’univers des pensées » 

-        - Tom Hardy/Eams, l’homme d’action qui sait faire face a l’ennemi sans se poser de questions. 

-        -  Dileep Rao/Yusuf (dans « Jusqu’en Enfer, le voyant Indou c’est lui !), chargé de les mener a leur reveil tout en bravant les « pensées protectrices). 

-        -  Ken Watanabe/Saito la clef de la liberté pour Cobb. 

-         - Cillian Murphy/Robert Fischer Jr. le pauvre type qui n’a rien demandé (!!!) toujours aussi classe lui aussi

  - Ellen Page/Ariadne qui a construit ce labyrinthe de pensées et sans qui n’aurait été possible. 

-          - Marion Cotillard/Mall absolument parfaite (et belle !) à la fois ombre et haine dans son rôle de souvenirs imparfait. 

-           - Et bien sur Michal Caine/Miles, incontournable de l’univers de Nolan dans une courte apparition.

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Pour terminer ce texte, je vais faire le détail des points de ressemblances avec les métrages qui leur correspondent :

-         - L’élément de l’eau : « Shutter Island » 

-         - Di Caprio dans le rôle dans personnage en quête de rédemption d’un faute qui aura couté a sa vie de famille : « Shutter Island » 

-          - Les univers a modeler a volonté : « Matrix » 

-          - Le braquage en et lui-même : « Oceanc’s Eleve » 

-         -  La prise du bunker : « James Bond »

 - La scene du couloir/gunfight : « Matrix »

-          Un final qui ouvre a la réflexion (pour le spectateur)/prise de conscience du « héro » : « Shutter Island », « Blade Runner », « 1984 »

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C’est pour son mélange de genre/scenario très recherché/non prise du spectateur pour un imbécile/son réalisateur hors paire entrain de devenir un des plus grand du cinéma que « Inception » a dors et tout de même déjà obtenu son statut de film culte (a défaut de chez d’œuvre donc, comme « Matrix » en somme), instantané et pierre angulaire de la Science Fiction et qu’il méritait une petite analyse rapide.

J’ai délibérément omis de détaler l’intrigue et les trouvailles scénaristique pour que les gens qui ne l’auront pas encore vu ai le même grand plaisir de découverte que celui qui a été le mien

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